• A Constantin Guys

    I

    De ce terrible paysage,
    Tel que jamais mortel n'en vit,
    Ce matin encore l'image,
    Vague et lointaine, me ravit.

    Le sommeil est plein de miracles !
    Par un caprice singulier,
    J'avais banni de ces spectacles
    Le végétal irrégulier,

    Et, peintre fier de mon génie,
    Je savourais dans mon tableau...