• Marie, baisez-moi ; non, ne me baisez pas,
    Mais tirez-moi le coeur de votre douce haleine ;
    Non, ne le tirez pas, mais hors de chaque veine
    Sucez-moi toute l'âme éparse entre vos bras ;

    Non, ne la sucez pas ; car après le trépas
    Que serais-je sinon une semblance vaine,
    Sans corps, dessus la rive, où l'amour ne démène
    (Pardonne-moi, Pluton) qu'en feintes...