• La jeune dame qui marche sur la pelouse
    Devant l’été paré de pommes et d’appas,
    Quand des heures Midi comblé jette les douze,
    Dans cette plénitude arrêtant ses beaux pas,

    A dit un jour, tragique abandonnée — épouse —
    À la mort séduisant son Poète : Trépas !
    Tu mens. Ô vain climat nul ! je me sais jalouse
    Du faux Éden que, triste, il n’habitera pas....

  • La jeune dame qui marche sur la pelouse
    Devant l'été paré de pommes et d'appas,
    Quand des heures Midi comblé jette les douze,
    Dans cette plénitude arrêtant ses beaux pas,

    A dit un jour, tragique abandonnée - épouse -
    A la Mort séduisant son Poëte : "Trépas !
    Tu mens. Ô vain climat nul ! je me sais jalouse
    Du faux Éden que, triste, il n'habitera pas."...