J'ay chanté le Combat, la Mort, la sepulture
Du Christ qu'on a comblé de torts injurieux
Je chante sa descente aux antres stygieux
Pour tirer noz ayeulx de leur noire closture.
Je chante (emerveillé) comme sans ouverture
De sa Tombe, il en sort vivant, victorieux,
Je chante son Triomphe : et l'effort glorieux
Dont il guinda là haut l'une et l'autre...
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Et quoi donc ? la France féconde
En incomparables guerriers,
Aura jusqu'aux deux bouts du monde
Planté des forêts de lauriers,
Et fait gagner à ses armées
Des batailles si renommées,
Afin d'avoir cette douleur
D'ouïr démentir ses victoires,
Et nier ce que les histoires
Ont publié de sa valeur ?
Tant de fois le Rhin et la Meuse,
Par...