• Tu me vois quelquefois triste, énervé, grincheux,
    — Quand j’ai fumé surtout mes pipes allemandes
    En travaillant longtemps — alors, tu me demandes
    D’où vient l’expression si dure de mes yeux.

    Tu me dis que mes grands bouquins sont ennuyeux
    Comme les pins et leurs petits pots dans les landes ;
    C’est vrai : viens... tes baisers sont comme des amandes :
    ...

  • Mes bouquins refermés sur le nom de Paphos,
    Il m’amuse d’élire avec le seul génie
    Une ruine, par mille écumes bénie
    Sous l’hyacinthe, au loin, de ses jours triomphaux.

    Coure le froid avec ses silences de faulx,
    Je n’y hululerai pas de vide nénie
    Si ce très blanc ébat au ras du sol dénie
    A tout site l’honneur du paysage faux.

    Ma faim qui d’...

  • Mes bouquins refermés sur le nom de Paphos,
    Il m’amuse d’élire avec le seul génie
    Une ruine, par mille écumes bénie
    Sous l’hyacinthe, au loin, de ses jours triomphaux.

    Coure le froid avec ses silences de faulx,
    Je n’y hululerai pas de vide nénie
    Si ce très-blanc ébat au ras du sol dénie
    À tout site l’honneur du paysage faux.

    Ma faim qui d’...

  • Mes bouquins refermés sur le nom de Paphos,
    Il m’amuse d’élire avec le seul génie
    Une ruine, par mille écumes bénie
    Sous l’hyacinthe, au loin, de ses jours triomphaux.

    Coure le froid avec ses silences de faulx,
    Je n’y hululerai pas de vide nénie
    Si ce très vierge ébat au ras du sol dénie
    À tout site l’honneur du paysage faux.

    Ma faim qui d’...

  • Mes bouquins refermés sur le nom de Paphos,
    Il m'amuse d'élire avec le seul génie
    Une ruine, par mille écumes bénie
    Sous l'hyacinthe, au loin, de ses jours triomphaux.

    Coure le froid avec ses silences de faux,
    Je n'y hululerai pas de vide nénie
    Si ce très blanc ébat au ras du sol dénie
    A tout site l'honneur du paysage faux.

    Ma faim...