Ils ne sont plus, laissez en paix leur cendre :
Par d’injustes clameurs ces braves outragés
À se justifier n’ont pas voulu descendre ;
Mais un seul jour les a vengés :
Ils sont tous morts pour vous défendre.
Malheur à vous si vos yeux inhumains
N’ont point de pleurs pour la patrie !
Sans force contre vos chagrins,
Contre le mal commun...