• Vous qui n'ensorcelez les troupes vagabondes,
    Mais toujours tourmentés, endurez tant de maux,
    Voyez tant seulement baigner les animaux,
    Et détournez vos yeux de ces sacrées ondes.

    Gardez l'orage saint, ce sont les Nymphes blondes,
    Actéon cerf fuyant, après tant de travaux
    Fut enfin dévoré, et court par monts et vaux
    Encore celui-là des cavernes...