Douce brise du soir, haleine parfumée,
Qu'exhale, en expirant, le vaste sein du jour,
Ah ! puisses-tu bientôt, sur la couche embaumée
Où Dayelle s'agite, (oh ! je l'ai tant aimée !)
Porter à son oreille un mot de mon amour !
Allah ! je n'ai plus rien qu'un chétif dromadaire !
Un fakir, l'autre jour, m'a ravi mon caftan !
Une Circassienne, achetée au...