Veux-tu, sur les grands monts aux vertes chevelures,
Où l’haleine des soirs balsamiques t’attend,
Voir aux molles lueurs de Vesper hésitant,
Des chevriers tardifs les étranges allures ;
Et sur ces flancs ouvrés en mille dentelures
Me dire ces vieux airs où le cœur se plaît tant,
D’une bouche enfantine et le sein palpitant
Comme un doux gonflement de...