Tu fus pour moi comme un arbre chéri
que les vents courbent sans le briser, et
qui, avec une affectueuse fidélité,
balance son feuillage sur un tombeau.
(Byron, Stances à sa Sœur)
Loin de ma sœur chérie
Que le sort m’a ravie,
Hélas ! ma triste vie
N’a plus...