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    À Joseph Rouleau.

    La débâcle a grossi l’Etchemin, qui naguères
    Sous la glace tordait ses ondes prisonnières,
    Et, le canthook aux bras, les flotteurs fiers et forts
    Drayent les lourds billots échoués sur ses bords,
    Ou sur les rocs trouant au large l’eau glacée,
    Font glisser sur les flots la forêt terrassée
    Par le fer des...