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    « Toi qui dans l’air léger lances d’un souffle pur
    La chanson de ta flûte en gammes vers l’azur
    Et qui, longtemps assis devant la mer sacrée,
    L’admires, tour à tour, rose à peine ou pourprée,
    Quand le soleil se lève ou tombe à l’horizon ;
    O toi, qui, pour rentrer, le soir, en ta maison,
    Suis ce sentier charmant qui va par la prairie
    Et qui s’...