• Nymphes de mon pays, déités bocagères,
    Donnez un libre essor à vos danses légères,
    Et, dédaignant les fleurs du vallon maternel,
    Couronnez vos cheveux d’un laurier solennel.
    Lebrun vient embellir nos bords par sa présence ;
    Dans les foyers témoins des jeux de son enfance,
    Dans les bois confidents de ses premiers plaisirs,
    Lebrun vient parmi nous...