•  
    Napoléon mourant vit une Tête armée...
    Il pensait à son fils déjà faible et souffrant :
    La Tête, c'était donc sa France bien-aimée,
    Décapitée aux pieds du César expirant.

    Dieu, qui jugeait cet homme et cette renommée,
    Appela Jésus-Christ ; mais l'abîme s'ouvrant,
    Ne rendit qu'un vain souffle, un spectre de fumée :
    Le Demi-Dieu, vaincu,...