Khirîna, de Hidil, a recueilli les restes
Du vieux temple gisant sur le sol paternel
Et, la nuit, à l’écart, a de ses mains modestes
Pour la Dame des eaux rebâti cet autel.
Déesse Anâhita qu’un siècle ingrat exile,
O Vierge ruisselante au flot jamais tari,
O Pure ! Khirîna t’offre cet humble asile
Où ta source peut naître et chanter à l’abri...