Ce coeur plaintif, ce coeur d'automne,
Qui veut l'aimer ?
Ma belle enfant, on vous le donne
Pour un baiser.
Amusez-vous, car je vous vois
Inoccupée,
A le briser, comme autrefois
Votre poupée.
Ce sera moins long que les roses
A déchirer,
Puis vous irez à d'autres choses,
Et moi pleurer.