Beau corail soupirant, ce pourpre qui me flatte |
Belle main divisée en cinq branches d'ivoire, |
Alors que j'ai chanté par un vers précieux |
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Des roses et des lys filles et soeurs jumelles, |
Zéphyre bien souvent de votre poil se joue, |
Oreilles, la nature en coquillant qui gire |
Mon esprit qui toujours d'un vain espoir s'apaise, |
Beaux yeux que j'aime tant, hé quelle est votre essence, |