Quand pourrai-je, quittant tous les soins inutiles
Et le vulgaire ennui de l'affreuse cité,
Me reconnaître enfin, dans les bois, frais asiles,
Et sur les calmes bords d'un lac plein de clarté ?
Mais plutôt, je voudrais songer sur tes rivages,
Mer, de mes...
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Quand reviendra l'automne avec les feuilles mortes |
Quand je viendrai m'asseoir dans le vent, dans la nuit, |