L'ETERNEL FARDEAU"
Il est, mon frère, un meuble sombre
Qu'en t'éveillant tu vois d'abord :
La nuit dans ta chambre est encor, -
Tu vois au mur la croix dans l'ombre !
Il faut la porter tout le jour.
Mais elle est douce, elle rayonne,
Mais de fleurs...
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Par la brise d'automne à la forêt volée, |
Je n'ai vu ni Venise un soir à sa gondole, |
Enfants, le ciel, le ciel sur nos campagnes |