• [47] An „la belle France.“
    (1889.)

    Wenn du vom Ausland mehr und Näh’res wüßtest,
    Als leider, leider! du zu wissen pflegst
    (Daß du für Völkerkunde Neigung hegst,
    Ist wohl das Letzte,...

  • [67]

     Belle Helène!

    Belle Helène! belle Helène!
    Altberühmte Griechen-Schöne,
    Dich bewundern uns’re...

  • Le Loire a quitté La Pallice
    Maintenant tout est bien fini.
    On s’en va vers le Maroni
    Où les requins font la police.

    On est sans nom, on est plus rien.
    La loi nous chasse de la ville.
    On n’est plus qu’un bateau de chiens
    Qu’on mène crever dans île.

    Mais alors apparaît la Belle,
    La faim, la lèpre, le cachot,
    Le coup de poing des...

  •  
    Dans son vaste palais, sous la sombre ramure,
    La Belle au bois repose, attendant le réveil ;
    Son beau front est de glace et pâle est sa figure,
    Ses grands cheveux lui font comme un manteau vermeil.

    Un étrange sourire erre encor sur sa bouche,
    Ses longs cils abaissés ombrent légèrement
    Ce visage si pur et que la mort farouche
    Semble avoir en...

  • En arrivant dans sa ville aux cent tours,
    Charles s'écrie : Ah ! cœurs pleins d'artifice !
    Ah ! mécréants ! pourvoyeurs de vautours !
    Il faut enfin qu'on vous anéantisse.
    Que tous les pairs de ma cour de justice
    Viennent, dit-il, me trouver sans délais :
    Je veux qu'on parte et qu'on les avertisse.
    Mais en passant le seuil de son palais,

    Sous un...

  • Dans le chaland moussu, la petiote ignorant
    Sa figure comme son âme,
    Pour la première fois, près de sa sœur qui rame,
    Va sur l’étang vert transparent.

    « Oh ! fait-elle, soudain, vois donc la belle...

  • I.Belle doce Dame chiere,
    Vostre grans beautés entiere
    ...

  • Beau monstre de Nature, il est vrai, ton visage
    Est noir au dernier point, mais beau parfaitement :
    Et l’Ebène poli qui te sert d’ornement
    Sur le plus blanc ivoire emporte l’avantage.

    Ô merveille divine, inconnue à notre âge !
    Qu’un objet ténébreux luise si clairement ;
    Et qu’un charbon éteint, brûle plus vivement
    Que ceux qui de la flamme...

  •  
    Au coeur de la moisson dont s’érigent les ors
    Quand la clarté se boit, se mange et se respire,
    Je suis tes pas aux champs, et longuement j’admire
    Le faisceau de santé que dresse et meut ton corps.

    Le dur et franc...

  •  
    Par la rue enfiévrante où mes pas inquiets
    Se traînent au soleil comme au gaz, je voyais
    Derrière une affreuse vitrine
    Où s’étalaient du beurre et des fromages gras,
    Une superbe enfant dont j’admirais les bras
    ...