• Enfin, après les tempêtes,
    Nous voici rendus au port ;
    Enfin nous voyons nos têtes
    Hors de l’injure du sort :
    Nous n’avons rien qui menace
    De troubler notre bonace ;
    Et ces matières de pleurs,
    Massacres, feux et rapines,
    De leurs funestes épines
    Ne gâteront plus nos fleurs.

    Nos prières sont ouïes,
    Tout est réconcilié ;
    ...