Du pâle Lydien, ô race envenimée,
L'inextinguible soif ne t'a point consumée !
Soucieux héritier du tourment paternel,
O vulgaire maudit, es-tu donc éternel ?
Mille fois, vaste champ où tout germe et s'efface,
La terre inépuisable a remué sa face,
Du jour où rejeté d'un moule spacieux,
Le globe en fusion s'arrondit dans les deux.
Fleuves...