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    Ni l’amour ni les dieux ! Ce double mal nous tue.
    Je ne poursuivrai plus la guêpe du baiser,
    Et, las d’approfondir, je veux me reposer
    De l’ingrate besogne où mon front s’évertue.

    Ni l’amour ni les dieux ! Qu’enfin je m’habitue
    A ne sentir jamais le désir m’embraser,
    Ni l’éternel secret des choses m’écraser !
    Qu’enfin je sois heureux ! Que je...