• Quelle tempête hélas ! quel orage assez fort
    Pourrait bien égaler le furieux effort
    Qui, tout au long d'un an, pour la française terre,
    A fait courir l'effroi de cette horrible guerre ?
    Qui traînait après soi mille et mille malheurs,
    Pour faire à l'avenir couler cent mille pleurs ?
    Si la postérité veut croire en notre histoire
    Ce que ceux qui l'ont vue...