• Le coq chante là-bas ; un faible jour tranquille
    Blanchit autour de moi ;
    Une dernière flamme aux portes de la ville
    Brille au mur de l'octroi.

    Ô mon second berceau, Paris, tu dors encore
    Quand je suis éveillé
    Et que j'entends le pouls de mon grand coeur sonore
    Sombre et dépareillé.

    Que veut-il, que veut-il, ce coeur ? malgré la cendre...

  • Je t'aime d'être faible et câline en mes bras
    Et de chercher le sûr refuge de mes bras
    Ainsi qu'un berceau tiède où tu reposeras.

    Je t'aime d'être rousse et pareille à l'automne,
    Frêle image de la Déesse de l'automne
    Que le soleil couchant illumine et couronne.

    Je t'aime d'être lente et de marcher sans bruit
    Et de parler très bas et de haïr le...