• Ô douce Volupté, sans qui, dès notre enfance,
    Le vivre et le mourir nous deviendraient égaux ;
    Aimant universel de tous les animaux,
    Que tu sais attirer avecque violence !
    Par toi tout se meut ici-bas.
    C'est pour toi, c'est pour tes appâts,
    Que nous courons après la peine :
    Il n'est soldat, ni capitaine,
    Ni ministre d'État, ni prince, ni sujet,...