I
Tu me dois ta photographie
À la condition que je
Serai bien sage — et tu t’y fies !
Apprends, ma chère, que je veux
Être, en échange de ce don
Précieux, un libertin que
L’on pardonne après sa fredaine
Dernière en faveur d’un second
...
I Tu me dois ta photographie Apprends, ma chère, que je veux L’on pardonne après sa fredaine |
Un rêve de cuisses de femmes Dans un ballon de jupes gaies |
Autant certes la femme gagne
À la condition expresse Ne s’écartant... |
L’autel bas s’orne de hautes mauves, On chante au graduel : Fi-li-a ! |
Car tu vis en toutes les femmes Ton sourire tendre ou moqueur, |
Avant que tu ne t’en ailles, Tourne devers le poète, |
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C’est un plus petit cœur
Il verse ah ! que de pleurs Prolongés mieux qu’adieu,
Vêtu de violet, |
Gland point suprême de l’être
De mon maître,
Tant et tant par ce gros membre |
Madame et Pauline Roland, ... |