• Quand le Faisan doré courtise sa femelle,
    Et fait, pour l'éblouir, la roue, il étincelle
    De feux plus chatoyants qu'un oiseau de vitrail.
    Dressant sa huppe d'or, hérissant son camail
    Couleur d'aube et zébré de rayures d'ébène,
    Gonflant suri plastron rouge ardent, il se promène,
    Chaque aile soulevée, en hautaines allures ;
    Son plumage s'emplit de lueurs...