• A ranimer la muse en vain je m’évertue,
    Elle est sourde à mes cris et froide sous mes pleurs ;
    Sans espoir je me jette aux pieds d’une statue
    Dont le regard sans flamme avive mes douleurs.

    C’est son souffle pourtant qui parfume mon âme ;
    C’est sa voix qui m’ouvrit un horizon nouveau,
    El c’est au doux contact de ses lèvres de femme
    Que je sentis un...