Mon rêve est simple : il est trop simple, ô mon enfant,
Peut-être, pour que toi qui m’aimes, le comprennes,
— Car les rêves qu’on fait au couvent sont de reines
Qui siègent près de rois dont l’air est triomphant. —
Le soir, auprès du feu, quand il ferait du vent
Et que tout gémirait dans la forêt prochaine,
Dans un fauteuil fané d’antique bois de chêne...