Au long de promenoirs qui s’ouvrent sur la nuit
— Balcons de fleurs, rampes de flammes —
Des femmes en deuil de leur âme
Entrecroisent leurs pas sans bruit.
Au dehors,
Une atmosphère éclatante et chimique
Étend ses effluves sur l’or
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Au long de promenoirs qui s’ouvrent sur la nuit Au dehors, |
Chambres claires, tours et laboratoires, Blocs de lumière éclatés en trésors, |
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Appels de cloche à cloche, ô mon âme des soirs, |
Ô ces îles au bout de l’univers perdues, ... |
La rue, en un remous de pas, |
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Rubens
Ton art énorme est tel qu’un débordant jardin |