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    Non, le fatal ennui qui nous pousse au blasphème
    Ne sera pas vainqueur !
    Pour échapper au monde et pour me fuir moi-même,
    J’ai des ailes au cœur.

    Je conserve immortels l’amour de la nature,
    Votre amour, ô mon Dieu !
    Ce double asile, ouvert aux peines que j’endure,
    Me reçoit en tout lieu.

    L'homme sur votre nom, que l’univers atteste,...