Rubens
Ton art énorme est tel qu’un débordant jardin
— Feuillages d’or, buissons en sang, taillis de flamme —
D’où surgissent, d’entre les fleurs rouges...
Rubens
Ton art énorme est tel qu’un débordant jardin |
Saint Amand
Et seul, n’ayant foi qu’en lui-même |
L’âme du Téméraire était une forêt L’impatience éperonnait sa volonté ; |
L’or migrateur qui passe où s’exalte la force Les deux cités dardaient un pouvoir inégal, |
VésaleÀ Paul Heger.
À qui vous regardait baller, de large... |