Peut-être que si j'ai osé t'écrire,
langue prêtée, c'était pour employer
ce nom rustique dont l'unique empire
me tourmentait depuis toujours : Verger.
Pauvre poète qui doit élire
pour dire tout ce que ce nom comprend,
un à peu près trop vague qui chavire,...
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Laissez-moi dormir, encore... C'est la trêve |
Souvent au-devant de nous |
Dans la multiple rencontre |
Ô la biche : quel bel intérieur |
Au midi vide qui dort |
Entre le masque de brume |
Vers quel soleil gravitent |
C'est le paysage longtemps, c'est une cloche, |
Ô nostalgie des lieux qui n'étaient point |