• Voici venir le jour où mourut mon grand-père.
    Hélas ! c’est pour mon cœur encor tout éperdu
    Un de ces souvenirs sur lesquels rien n’opère,
    Et qui, toujours vivant, tantôt me désespère,
    Tantôt brille à mes yeux comme un rayon perdu.

    Dans la coupe secrète où mes larmes s’assemblent,
    Toutes celles qu’alors m’arracha la douleur
    Ruisselèrent. Et là, dans l...