Comme un bétail pensif sur le sable couchées,
Elles tournent leurs yeux vers l'horizon des mers,
Et leurs pieds se cherchant et leurs mains rapprochées
Ont de douces langueurs et des frissons amers.
Les unes, coeurs épris des longues confidences,
Dans le fond...
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Comme alors que le jour c'est caché sous la terre, |
Enfants de vanité, qui voulez tout poli, |
La jeune fille est semblable à la rose, |
Vous ne savez son nom ? - Celle pour qui je chante |
On le croyait fondateur de la ville, |
Le crapaud noir sur le sol blanc |
How was I worthy so divine a loss, |
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