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    Je ne vous parlerai que lorsqu’en l’eau profonde
    Votre visage pur se sera reflété
    Et lorsque la fraîcheur fugitive de l’onde
    Vous aura dit le peu que dure la beauté.

    Il faudra que vos mains pour en être odorantes,
    Aient cueilli le bouquet des heures et, tout bas,
    Qu’en ayant respiré les âmes différentes
    Vous soupiriez encore et ne souriiez pas...