• Le chêne au tronc géant, à l’épaisse ramure,
    Plonge dans le granit son pivot monstrueux ;
    Et le vivant réseau de sa rugueuse armure
    Déconcerte l’effort des vents impétueux.
    Deux siècles, trois peut-être et même plus encore,
    Pèsent, sans l’incliner, sur son front souverain ;
    Sa grande ombre enveloppe une pente sonore
    Où, de chênes, ses glands ont...