• Que ton souffle renaisse, Eté des vieilles joies,
    Et ramène l'espoir et son divin cortège,
    Et ravive l'écho de mes pas sur la grève
    Où le vol des corbeaux et des rêves tournoie.

    Car ma jeunesse s'empoussière aux vains grimoires,
    Tant qu'elle sèche et peu à peu se désagrège,
    Et l'automne, duègne ridée et sacrilège,
    Vert-de-grise l'étang de mon âme...