• Las du triste hôpital, et de l’encens fétide
    Qui monte en la blancheur banale des rideaux
    Vers le grand crucifix ennuyé du mur vide,
    Le moribond sournois y redresse un vieux dos,

    Se traîne et va, moins pour chauffer sa pourriture
    Que pour voir du soleil sur les pierres, coller
    Les poils blancs et les os de la maigre figure
    Aux fenêtres qu’un beau...

  • Las du triste hôpital et de l’encens fétide
    Qui monte en la blancheur banale des rideaux
    Vers le grand crucifix ennuyé du mur vide
    Le moribond, parfois, redresse son vieux dos,

    Se traîne et va, moins pour chauffer sa pourriture
    Que pour voir du soleil sur les pierres, coller
    Les poils blancs et les os de sa maigre figure
    Aux fenêtres qu’un beau rayon...

  • Las du triste hôpital et de l’encens fétide
    Qui monte en la blancheur banale des rideaux
    Vers le grand crucifix ennuyé du mur vide,
    Le moribond, parfois, redresse son vieux dos,

    Se traîne et va, moins pour chauffer sa pourriture
    Que pour voir du soleil sur les pierres, coller
    Les poils blancs et les os de sa maigre figure
    Aux fenêtres qu’un beau rayon...

  • Las du triste hôpital et de l’encens fétide
    Qui monte en la blancheur banale des rideaux
    Vers le grand crucifix ennuyé du mur vide,
    Le moribond, parfois, redresse son vieux dos,

    Se traîne et va, moins pour chauffer sa pourriture
    Que pour voir du soleil sur les pierres, coller
    Les poils blancs et les os de sa maigre figure
    Aux fenêtres qu’un beau rayon...

  • Las du triste hôpital, et de l'encens fétide
    Qui monte en la blancheur banale des rideaux
    Vers le grand crucifix ennuyé du mur vide,
    Le moribond sournois y redresse un vieux dos,

    Se traîne et va, moins pour chauffer sa pourriture
    Que pour voir du soleil sur les pierres, coller
    Les poils blancs et les os de la maigre figure
    Aux fenêtres qu'un beau rayon...