• Assis sur le versant des coteaux modérés
    D’où l’œil domine l’Oise et s’étend sur les prés ;
    Avant le soir, après la chaleur trop brûlante,
    À cette heure d’été déjà plus tiède et lente ;
    Au doux chant, mais déjà moins nombreux, des oiseaux ;
    En bas voyant glisser si paisibles les eaux,
    Et la plaine brillante avec des places d’ombres,
    Et les seuls...