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    I

    J’ADORE ta Beauté, pour ce qu’elle est pareille
    A mon Rêve immortel et me parle des cieux,
    Comme un hymne lointain qui chante à mon oreille.

    Elle évoque les jours longs et délicieux
    Que j’ai vécus, sans doute, en attendant la vie,
    Dans quelque monde obscur où mon cœur soucieux

    Cherche éternellement l’illusion ravie.
    C’est ce lent...

  • Mélancolique mer que je ne connais pas,
    Tu vas m'envelopper dans ta brume légère
    Sur ton sable mouillé je marquerai mes pas,
    Et j'oublierai soudain et la ville et la terre.

    Ô mer, ô tristes flots, saurez-vous, dans vos bruits
    Qui viendront expirer sur les sables sauvages,
    Bercer jusqu'à la mort mon coeur, et ses ennuis
    Qui ne se plaisent plus qu'...