MOI
Quel fardeau te pèse, ô mon âme !
Sur ce vieux lit des jours par l’ennui retourné,
Comme un fruit de douleurs qui pèse aux flancs de femme
Impatient de naître et pleurant d’être né ?
La nuit tombe, ô mon âme ! un peu de...
MOI Quel fardeau te pèse, ô mon âme ! |
Que me fait le coteau, le toit, la vigne aride ? |
Pourtant le soir qui tombe a des langueurs sereines |
(extraits) |
Efface ce séjour, ô Dieu ! de ma paupière, |