•  
    À Marcel Dugas.

    Avant que la sublime aurore de l’histoire
    Auréole leurs fronts par la Muse ennoblis,
    Nos aëdes en vain luttent dans la nuit noire
    Dont le morne linceul les couvre de ses plis.

    Merci d’avoir, au seuil des injustes oublis,
    Pieusement tressé pour honorer leur gloire,
    Le laurier solennel, les roses et les lys
    ...

  • Il lui dit : « Allons nous promener dans les bois.
    Vois la belle journée…
    Nous n’aurons ce temps-là peut-être qu’une fois
    Au cours de cette année. »

    Ils étaient dans le lit si gentiment blottis !...