Le dieu du laboureur est comme un très vieux roi
De chair et d’os, seigneur du champ qu’il ensemence ;
Le dieu de son curé règne aussi, mais immense,
Trois fois unique, esprit, fils et père de soi ;
Le déiste contemple un pur je ne sais quoi
Lointain, par qui le monde, en s’ordonnant, commence ;
Et le savant qui rit de leur sainte démence
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