Toi dont mon seul regard faisait frissonner l'aile,
Qui m'égayait par ton babil,
Hélas ! Te voilà sourd à ma voix qui t'appelle,
Cher oiseau ! La saison cruelle
De ta vie a tranché le fil !
Ne crains pas que l'oubli chez les morts t'accompagne,
O toi, le plus doux des oiseaux !
Tu fus pendant six ans ma fidèle compagne,
Oubliant pour moi la...