Le temps est changé grandement 
Si chacun bien y considère 
Et nul ne sait plus bonnement 
Comme il se pourra contrefaire ; 
On ne vit oncq telle misère ; 
(Dieu nous veuille de pis garder !) 
Car nul n'est qui craigne à méfaire 
Contre Dieu ni ses père et mère 
Chacun veut chacun gourmander.
On n'estime plus maintenant 
Un homme, eût-il...
