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    C’est à toi que je veux offrir mes premiers vers,
    Père ! J’en ai cueilli les strophes un peu rudes
    Là-haut, dans ton Rouergue aux âpres solitudes,
    Parmi les bois touffus et les genêts amers.

    Tu ne les liras point, je le sais, ô mon père !
    Car tu ne sais pas lire, hélas ! et toi qui fis
    Tant d’efforts pour donner des maîtres à ton fils,
    On ne...