• Quand le Dieu qui me frappe, attendri par mes larmes,
    De mon coeur oppressé soulève un peu sa main,
    Et, donnant quelque trêve à mes longues alarmes,
    Laisse tarir mes yeux et respirer mon sein;

    Soudain, comme le flot refoulé du rivage
    Aux bords qui l'ont brisé revient en gémissant,
    Ou comme le roseau, vain jouet de l'orage,
    Qui plie et rebondit sous la...