Ô combien est heureux qui n'est contraint de feindre,
Ce que la vérité le contraint de penser,
Et à qui le respect d'un qu'on n'ose offenser
Ne peut la liberté de sa plume contraindre !
Las, pourquoi de ce noeud sens-je la mienne éteindre,
Quand mes justes regrets je cuide commencer ?
Et pourquoi ne se peut mon âme dispenser
De ne sentir son mal ou de s...